Le printemps est la saison du renouveau dans la nature. Les plantes reprennent leur croissance, ce qui suppose un certain
nombre de travaux indispensables. Certes, les températures se radoucissent mais des gelées soudaines peuvent encore se produire et provoquer des dégâts importants si l’on n’a pas pris soin de protéger les cultures. En effet, les plantes sont très fragiles au moment du départ de la végétation, et, par là, extrêmement sensibles au gel.
LES ÉCARTS DU CLIMAT
La France présentant l’avantage d’une grande diversité de climats, le calendrier des travaux n’est pas le même dans toutes les régions. On n’y cultive pas les fleurs, les fruits et les légumes à la même date et ce qui pousse bien sous certains cieux peut ne rien donner ailleurs. C’est pourquoi, avant d’entreprendre les travaux du jardin, il faut tenir compte des écarts climatiques
en prenant pour références la région parisienne, le Centre et la région lyonnaise qui bénéficient d’un climat moyen à peu près identique. Traditionnellement, le printemps du jardinier commence à la mi-mars.
Printemps précoce
Certaines régions connaissent un printemps précoce, plus ou moins en avance sur le calendrier :
• de trente à quarante jours : la région méditerranéenne, les Landes, les Pyrénées-Atlantiques et le sud de la Bretagne ;
• de vingt à trente jours : la Bretagne, le littoral atlantique et le Bassin aquitain ;
• de dix à quinze jours : les Pyrénées, le Massif central, l’Ouest et les contreforts des Alpes.
Printemps tardif
D’autres régions connaissent un printemps tardif, qui s’échelonne de la manière suivante :
• de cinq à dix jours : le Nord, l’est de la plaine d’Alsace, le Jura et la Haute-Savoie, les Hautes-Alpes et la Lozère ;
• de dix à quinze jours : la Lorraine ;
• de vingt à vingt-cinq jours : le massif vosgien.
Les régions non citées sont assimilables à la région parisienne.
nombre de travaux indispensables. Certes, les températures se radoucissent mais des gelées soudaines peuvent encore se produire et provoquer des dégâts importants si l’on n’a pas pris soin de protéger les cultures. En effet, les plantes sont très fragiles au moment du départ de la végétation, et, par là, extrêmement sensibles au gel.
LES ÉCARTS DU CLIMAT
La France présentant l’avantage d’une grande diversité de climats, le calendrier des travaux n’est pas le même dans toutes les régions. On n’y cultive pas les fleurs, les fruits et les légumes à la même date et ce qui pousse bien sous certains cieux peut ne rien donner ailleurs. C’est pourquoi, avant d’entreprendre les travaux du jardin, il faut tenir compte des écarts climatiques
en prenant pour références la région parisienne, le Centre et la région lyonnaise qui bénéficient d’un climat moyen à peu près identique. Traditionnellement, le printemps du jardinier commence à la mi-mars.
Printemps précoce
Certaines régions connaissent un printemps précoce, plus ou moins en avance sur le calendrier :
• de trente à quarante jours : la région méditerranéenne, les Landes, les Pyrénées-Atlantiques et le sud de la Bretagne ;
• de vingt à trente jours : la Bretagne, le littoral atlantique et le Bassin aquitain ;
• de dix à quinze jours : les Pyrénées, le Massif central, l’Ouest et les contreforts des Alpes.
Printemps tardif
D’autres régions connaissent un printemps tardif, qui s’échelonne de la manière suivante :
• de cinq à dix jours : le Nord, l’est de la plaine d’Alsace, le Jura et la Haute-Savoie, les Hautes-Alpes et la Lozère ;
• de dix à quinze jours : la Lorraine ;
• de vingt à vingt-cinq jours : le massif vosgien.
Les régions non citées sont assimilables à la région parisienne.
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