Pour obtenir la reproduction des plantes, le jardinier dispose de plusieurs procédés. La plupart sont des modes de reproduction
naturels : semis, bouturage, marcottage, drageonnement, éclatage. D’autres, purement artificiels, permettent également la multiplication des végétaux. Ce sont l'hybridation, le greffage et le surgreffage.
Parmi ces procédés, seul le semis correspond à un mode de reproduction sexuel.
Le semis est le procédé le plus couramment employé pour la reproduction des plantes. Le terrain étant soigneusement préparé, on peut semer à la volée, en répartissant régulièrement les graines sur toute la surface à ensemencer, ou en ligne. Dans ce cas, on trace au cordeau, avec la pointe d’une serfouette, un sillon bien droit. On répartit ensuite, aussi régulièrement que possible, les graines au fond du sillon, puis on le referme. On peut également tracer des sillons parallèles à l'aide des dents du râteau, mais il vaut mieux réserver ce procédé aux graines ne demandant qu’un enfouissement peu important. On referme ensuite les sillons avec le dos du râteau,
En pépinière, les semis se font en godets, à raison de quelques graines par godet. Les jeunes plants sont ensuite repiqués en ligne, de 10 cm en 10 cm, pour qu’ils se développent sans se gêner mutuellement. On peut utiliser des graines dites « stratifiées », pour favoriser
un début de germination avant le semis proprement dit. Dans un premier temps, on dispose les graines en couches séparées par une épaisseur de sable. Quand la germination a démarré, on extrait les graines de leur couverture sableuse et l'on sème normalement.
naturels : semis, bouturage, marcottage, drageonnement, éclatage. D’autres, purement artificiels, permettent également la multiplication des végétaux. Ce sont l'hybridation, le greffage et le surgreffage.
Parmi ces procédés, seul le semis correspond à un mode de reproduction sexuel.
Le semis est le procédé le plus couramment employé pour la reproduction des plantes. Le terrain étant soigneusement préparé, on peut semer à la volée, en répartissant régulièrement les graines sur toute la surface à ensemencer, ou en ligne. Dans ce cas, on trace au cordeau, avec la pointe d’une serfouette, un sillon bien droit. On répartit ensuite, aussi régulièrement que possible, les graines au fond du sillon, puis on le referme. On peut également tracer des sillons parallèles à l'aide des dents du râteau, mais il vaut mieux réserver ce procédé aux graines ne demandant qu’un enfouissement peu important. On referme ensuite les sillons avec le dos du râteau,
En pépinière, les semis se font en godets, à raison de quelques graines par godet. Les jeunes plants sont ensuite repiqués en ligne, de 10 cm en 10 cm, pour qu’ils se développent sans se gêner mutuellement. On peut utiliser des graines dites « stratifiées », pour favoriser
un début de germination avant le semis proprement dit. Dans un premier temps, on dispose les graines en couches séparées par une épaisseur de sable. Quand la germination a démarré, on extrait les graines de leur couverture sableuse et l'on sème normalement.
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