Le nom d'harmonica fut d'abord donné, autrefois, à un instrument composé d'une série de verres de cristal qu'on accordait sur des notes différentes en y versant plus ou moins d'eau et dont on frottait le bord. B. Franklin le perfectionna en permettant de mettre, mécaniquement les verres en rotation, et ce fut si satisfaisant que Mozart
composa un quintette dans lequel l'harmonica jouait sa partie aux côtés de la flûte, de l'alto, du haut-bois et du violoncelle. De nos jours, le terme désigne un instrument où des lamelles métalliques, formant anches libres et vibrant au passage de l'air, sont logées dans de petits tuyaux qui s'alignent dans une boîte munie d'ouvertures.
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