s de pompe. Celui-ci porte une graduation. Son rebord terminal est deux fois taillé, afin d'empêcher l'instrument de rouler sur une surface plane. L'extrémité antérieure porte un ajutage auquel on adapte une aiguille creuse en acier, en nickel ou, de préférence, en platine iridié, ce qui permet de la flamber avant usage. La seringue est stérilisée par ébullition. On aspire le liquide en élevant le piston préalablement poussé à fond ; on y adapte ensuite l'aiguille, dont on chasse l'air en poussant fe piston. compte-gouttes Ce petit appareil, présent dans toutes les armoires de pharmacie, permet, on le sait, de compter goutte à goutte la quantité prescrite d'une solution médicamenteuse. Il se compose d'un tube de verre, terminé d'un côté par une pointe effilée — capillaire — et, de l'autre, par une poire ou par un tube en caoutchouc. On aspire le liquide en pressant le caoutchouc, puis en le relâchant lorsque le tube y est plongé. Quand on presse de nouveau, doucement, le caoutchouc, une goutte apparaît au bout du tube et, une dépression se formant alors entre elle et le liquide supérieur, elle finit par se détacher et tomber, entraînée par son poids. au-dehors l'air contenu dans le tube ver* tical, y produit un vide qui provoque l'ascension du liquide, et disperse celui-ci en un nuage de fines gouttelettes. Le pulvérisateur à vapeur met en jeu de la vapeur sous pression provenant d'une petite chaudière annexe. Cet appareil sert pour divers traitements de la peau, du nez, du larynx, des bronches. On utilise aussi des pulvérisateurs à poudres, notamment pour l'emploi local des antibiotiques.
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