Callicarpa
On connaît essentiellement deux espèces : C. giraldiana et C. ko-reana, toutes deux originaires d’Extrême-Orient. Il s’agit
d’arbustes à feuillage caduc, hauts de 0,80 à 1,20 m pour la première espèce et de 0,50 à 0,80 m pour la seconde. La floraison, rose, a lieu de juin à juillet et la fructification, très intéressante sur le plan décoratif, d’octobre à février.
C’est une plante qui affectionne les terrains siliceux et les expositions mi-ombragées.
Calycanthe (Calycanthus)
On le nomme aussi « arbre aux anémones ». Originaire de Floride, il atteint 2 m et produit, en mai, de grandes fleurs pourpre foncé. Il est surtout intéressant pour son feuillage vert brillant, à la légère odeur de camphre, malheureusement caduc. Il aime les terres légères et chaudes.
Camélia (Camellia)
C’est un véritable bijou végétal, tant par son feuillage persistant, d’un vert brillant, que par la richesse et la beauté de sa floraison qui intervient au début du printemps, en mars ou avril.
Il en existe de nombreuses variétés, qui se caractérisent par la couleur des fleurs : blanches, roses, rouges, ou même panachées de rouge et de blanc. On les cultive généralement en bac, ce qui ralentit leur croissance. Ils sont pourtant parfaitement rustiques, à condition de les protéger de la neige qui brûle feuilles et boutons floraux. En pleine terre, ils peuvent atteindre plusieurs mètres de haut et devenir le plus bel ornement du jardin.
On les exposera au nord de préférence, à l’abri d’un mur, dans une
terre de bruyère. On leur évitera tout contact avec une terre calcaire. Au cours de la floraison, ils exigent beaucoup d’eau.
Caragana
Haut de 3 m, à feuillage caduc, cet arbuste originaire de Sibérie est utilisé dans le Midi comme brise-vent. Il s’accommode bien des terrains caillouteux et secs. Ses fleurs jaunes apparaissent en avril.
Caryopteris
L’intérêt de ce joli arbuste réside dans sa floraison tardive. En automne, il se couvre de petites fleurs violettes, groupées en cymes compactes. On le taille assez court à la fin de l’hiver. Il pousse bien dans une terre légère et saine.
Céanothe (Ceanothus)
Bleue, rose ou carmin, la floraison du céanothe a l’intérêt de durer une bonne partie de l’été. C’est ce qui donne sa valeur à cet arbuste de petite taille (de 0,50 à 0,80 m), qui se plaît à mi-ombre et dans une terre meuble et fraîche. On cultive surtout les dérivés de l’hybride C. azureus. La taille doit intervenir juste après la floraison ou à la fin de l’hiver.
Cerisier (Prunus)
Les cerisiers à fleurs sont extrêmement décoratifs au printemps, au moment de leur floraison. Peu exigeants quant au sol de culture, ils ne redoutent pas le calcaire, mais craignent l’humidité. On les plante isolément, en groupes ou en massifs, et on les taille après la floraison, sans excès, de façon à maintenir leur hauteur entre 2 et 4 m. Il en existe de très nombreuses espèces qui ne présentent pas de différences notables, sauf P. subhirtella
(cerisier du Japon), en fleur de novembre à mars, et, dans l’espèce P. serrulata, la variété 'Kiku-shida-re Sakura’, au port retombant.
Chalef (Elaeagnus)
Parmi les quarante espèces que compte le genre, certaines sont à feuilles molles et caduques, d’autres à feuilles coriaces et persistantes. Parmi les premières, Ê angusti-folia ou « olivier de Bohème » est un arbrisseau qui dépasse parfois 8 m de hauteur. Il présente des ramilles épineuses, des feuilles allongées et brillantes, vertes sur la face externe, argentées au revers. Ses fleurs jaunes s’épanouissent en mai et dégagent une discrète odeur de miel. E argentea, ou « chalef argenté », plus petit (de 3 à 5 m), porte des feuilles argentées et brillantes, des fleurs jaunes doublées de gris, exhalant une odeur puissante. On peut aussi signaler E multiflora ou « goumi » et E umbella-ta, aux fleurs blanches tachetées de jaune, s’épanouissant en mai ou juin. Parmi les espèces à feuilles persistantes, citons £ macrophylla, qui donne de septembre à novembre des fleurs argentées à l’odeur pénétrante ; £ pungens, espèce peu cultivée, et È. ebbingei, hybride fleurissant en octobre.
Les chalefs à feuilles caduques sont très rustiques; ils aiment les sols sableux et la lumière, contrairement aux espèces à feuillage persistant qui se plaisent à l’ombre, ou à mi-ombre et qui sont nettement moins rustiques. Tous les sols leur conviennent, à condition qu’ils ne soient ni trop secs ni trop humides.
Chèvrefeuille (Lonicera)
On négligera ici les chèvrefeuilles arbustifs pour se consacrer aux chèvrefeuilles sarmenteux qui, bien qu’appartenant au même genre botanique, n’ont pas grand-chose en commun. Plusieurs espèces de chèvrefeuilles sarmenteux sont des plantes volubiles, à feuilles caduques ou persistantes, à floraison estivale. Sans exigences quant au terrain de culture et à l’exposition, elles sont bien adaptées à la couverture des murs et des tonnelles. Elles ne réclament alors qu’une taille réduite pour limiter leur expansion. On distingue deux grandes catégories.
• Parmi les chèvrefeuilles à feuilles caduques, on trouve L. pericly-menum, encore appelé « chèvrefeuille des bois », et sa variété ‘Belgica’, à fleurs rouges quand elles sont en bouton, blanches quand elles s’épanouissent.
• Parmi les chèvrefeuilles à feuilles persistantes, citons L. japonica et ses variétés ‘Chinensis’, qui fleurit de juin à octobre, ‘Halliana’, très parfumée, etc.
Clérodendron
Cet arbuste de 1 à 2 m de haut porte en juin des fleurs odorantes, réunies en panicules terminales, au calice rouge et à la corolle blanche, très décoratives. Il est rustique dans toutes les régions tempérées et réclame une terre substantielle, franche et légère.
Cognassier du Japon
(Chaenomeles)
Il ne présente, guère de rapport avec l’arbre fruitier du même nom. C’est un arbuste décoratif, à l’abondante floraison printanière. Son feuillage clairsemé garnit des rameaux tortueux et épineux. On le cultive en touffe ou en plante grimpante palissée.
Issues de C. japonica, diverses espèces fleurissent en blanc, en rose,
en orangé ou en rouge, ce dernier ton l’emportant par son intensité et sa splendeur.
Cornouiller (Cornus)
Lorsqu’il atteint 4 m, le cornouiller est considéré comme un arbre, mais certaines espèces mesurent moins de 1 m. Parmi les espèces à feuillage caduc, on peut répertorier : C. alba, C. florida, C. kousa, C. mas, C. sanguinea et C. stoloni-fera, Leur intérêt réside dans le feuillage, les fleurs, les bractées colorées ou même la couleur des rameaux ligneux. À notre sens, l’espèce la plus intéressante est C. florida, dont les fleurs sont entourées de somptueuses bractées blanches (roses dans la variété ‘Rubra’) apparaissant en avril, avant que les feuilles ne sortent. Le spectacle de ce grand arbuste, de 1,30 à 2 m de hauteur, est alors splendide.
En règle générale, les cornouillers s’accommodent de tous les sols, sauf C. florida qui s’épanouit dans la terre de bruyère. Une exposition ombragée ne peut leur nuire.
Coronille des jardins
(Coronilla emerus)
La coronille des jardins est un arbuste de 2 m, à rameaux verts, au feuillage léger, tombant à l’automne. Ses fleurs très gracieuses, jaunes marquées de brun, s’épanouissent de mai à octobre par groupes de deux ou trois.
Les coronilles poussent spontanément dans le midi méditerranéen, car elles affectionnent les terrains secs et calcaires.
Cotoneaster
Ses fruits persistants, de couleurs vives, et son port gracieux sont les deux qualités de cet arbuste que l’on rencontre souvent dans les jardins.
On distingue habituellement les espèces à feuilles persistantes de celles à feuilles caduques.
Les espèces à feuilles persistantes.
Il s’agit d’arbustes originaires de Chine, hauts de 1,30 à 2 m, sauf pour quelques exceptions, soit naines (de 20 à 50 cm), soit géantes (plus de 4 m). L’espèce C. franche-tii est utilisée pour former des haies taillées. Ses feuilles sont vernies sur le dessus, grises au revers, ses fruits orangés. C. rugosa a un port pleureur, des feuilles grandes et lancéolées, des fruits rouge cramoisi. L’espèce C. microphylla est pourvue de branches traînantes portant de petites feuilles vert foncé, doublées de gris. Il fleurit en mai ou juin et se couvre de fruits rouges en septembre. Sa taille n’excède pas 50 cm. C. salicifolia, au port étalé et retombant, donne des fleurs délicatement rosées au printemps et des fruits d’un rouge franc en automne. Il peut atteindre facilement 4 m de hauteur.
Les espèces à feuilles caduques.
On retiendra surtout C. horizontales; arbuste à branches horizontales produisant, au mois de mai, de nombreuses fleurs roses, puis, en septembre, de petits fruits d’un rouge éclatant. Il ne dépasse pas 80 cm et convient donc aux bordures, aux rocailles (dont c’est l’une des meilleures espèces), aux talus et aux lisières de bassin. Il est indifférent au terrain comme à l’exposition qu’on peut lui donner.
Tous les cotoneasters supportent bien la taille.
On connaît essentiellement deux espèces : C. giraldiana et C. ko-reana, toutes deux originaires d’Extrême-Orient. Il s’agit
d’arbustes à feuillage caduc, hauts de 0,80 à 1,20 m pour la première espèce et de 0,50 à 0,80 m pour la seconde. La floraison, rose, a lieu de juin à juillet et la fructification, très intéressante sur le plan décoratif, d’octobre à février.
C’est une plante qui affectionne les terrains siliceux et les expositions mi-ombragées.
Calycanthe (Calycanthus)
On le nomme aussi « arbre aux anémones ». Originaire de Floride, il atteint 2 m et produit, en mai, de grandes fleurs pourpre foncé. Il est surtout intéressant pour son feuillage vert brillant, à la légère odeur de camphre, malheureusement caduc. Il aime les terres légères et chaudes.
Camélia (Camellia)
C’est un véritable bijou végétal, tant par son feuillage persistant, d’un vert brillant, que par la richesse et la beauté de sa floraison qui intervient au début du printemps, en mars ou avril.
Il en existe de nombreuses variétés, qui se caractérisent par la couleur des fleurs : blanches, roses, rouges, ou même panachées de rouge et de blanc. On les cultive généralement en bac, ce qui ralentit leur croissance. Ils sont pourtant parfaitement rustiques, à condition de les protéger de la neige qui brûle feuilles et boutons floraux. En pleine terre, ils peuvent atteindre plusieurs mètres de haut et devenir le plus bel ornement du jardin.
On les exposera au nord de préférence, à l’abri d’un mur, dans une
terre de bruyère. On leur évitera tout contact avec une terre calcaire. Au cours de la floraison, ils exigent beaucoup d’eau.
Caragana
Haut de 3 m, à feuillage caduc, cet arbuste originaire de Sibérie est utilisé dans le Midi comme brise-vent. Il s’accommode bien des terrains caillouteux et secs. Ses fleurs jaunes apparaissent en avril.
Caryopteris
L’intérêt de ce joli arbuste réside dans sa floraison tardive. En automne, il se couvre de petites fleurs violettes, groupées en cymes compactes. On le taille assez court à la fin de l’hiver. Il pousse bien dans une terre légère et saine.
Céanothe (Ceanothus)
Bleue, rose ou carmin, la floraison du céanothe a l’intérêt de durer une bonne partie de l’été. C’est ce qui donne sa valeur à cet arbuste de petite taille (de 0,50 à 0,80 m), qui se plaît à mi-ombre et dans une terre meuble et fraîche. On cultive surtout les dérivés de l’hybride C. azureus. La taille doit intervenir juste après la floraison ou à la fin de l’hiver.
Cerisier (Prunus)
Les cerisiers à fleurs sont extrêmement décoratifs au printemps, au moment de leur floraison. Peu exigeants quant au sol de culture, ils ne redoutent pas le calcaire, mais craignent l’humidité. On les plante isolément, en groupes ou en massifs, et on les taille après la floraison, sans excès, de façon à maintenir leur hauteur entre 2 et 4 m. Il en existe de très nombreuses espèces qui ne présentent pas de différences notables, sauf P. subhirtella
(cerisier du Japon), en fleur de novembre à mars, et, dans l’espèce P. serrulata, la variété 'Kiku-shida-re Sakura’, au port retombant.
Chalef (Elaeagnus)
Parmi les quarante espèces que compte le genre, certaines sont à feuilles molles et caduques, d’autres à feuilles coriaces et persistantes. Parmi les premières, Ê angusti-folia ou « olivier de Bohème » est un arbrisseau qui dépasse parfois 8 m de hauteur. Il présente des ramilles épineuses, des feuilles allongées et brillantes, vertes sur la face externe, argentées au revers. Ses fleurs jaunes s’épanouissent en mai et dégagent une discrète odeur de miel. E argentea, ou « chalef argenté », plus petit (de 3 à 5 m), porte des feuilles argentées et brillantes, des fleurs jaunes doublées de gris, exhalant une odeur puissante. On peut aussi signaler E multiflora ou « goumi » et E umbella-ta, aux fleurs blanches tachetées de jaune, s’épanouissant en mai ou juin. Parmi les espèces à feuilles persistantes, citons £ macrophylla, qui donne de septembre à novembre des fleurs argentées à l’odeur pénétrante ; £ pungens, espèce peu cultivée, et È. ebbingei, hybride fleurissant en octobre.
Les chalefs à feuilles caduques sont très rustiques; ils aiment les sols sableux et la lumière, contrairement aux espèces à feuillage persistant qui se plaisent à l’ombre, ou à mi-ombre et qui sont nettement moins rustiques. Tous les sols leur conviennent, à condition qu’ils ne soient ni trop secs ni trop humides.
Chèvrefeuille (Lonicera)
On négligera ici les chèvrefeuilles arbustifs pour se consacrer aux chèvrefeuilles sarmenteux qui, bien qu’appartenant au même genre botanique, n’ont pas grand-chose en commun. Plusieurs espèces de chèvrefeuilles sarmenteux sont des plantes volubiles, à feuilles caduques ou persistantes, à floraison estivale. Sans exigences quant au terrain de culture et à l’exposition, elles sont bien adaptées à la couverture des murs et des tonnelles. Elles ne réclament alors qu’une taille réduite pour limiter leur expansion. On distingue deux grandes catégories.
• Parmi les chèvrefeuilles à feuilles caduques, on trouve L. pericly-menum, encore appelé « chèvrefeuille des bois », et sa variété ‘Belgica’, à fleurs rouges quand elles sont en bouton, blanches quand elles s’épanouissent.
• Parmi les chèvrefeuilles à feuilles persistantes, citons L. japonica et ses variétés ‘Chinensis’, qui fleurit de juin à octobre, ‘Halliana’, très parfumée, etc.
Clérodendron
Cet arbuste de 1 à 2 m de haut porte en juin des fleurs odorantes, réunies en panicules terminales, au calice rouge et à la corolle blanche, très décoratives. Il est rustique dans toutes les régions tempérées et réclame une terre substantielle, franche et légère.
Cognassier du Japon
(Chaenomeles)
Il ne présente, guère de rapport avec l’arbre fruitier du même nom. C’est un arbuste décoratif, à l’abondante floraison printanière. Son feuillage clairsemé garnit des rameaux tortueux et épineux. On le cultive en touffe ou en plante grimpante palissée.
Issues de C. japonica, diverses espèces fleurissent en blanc, en rose,
en orangé ou en rouge, ce dernier ton l’emportant par son intensité et sa splendeur.
Cornouiller (Cornus)
Lorsqu’il atteint 4 m, le cornouiller est considéré comme un arbre, mais certaines espèces mesurent moins de 1 m. Parmi les espèces à feuillage caduc, on peut répertorier : C. alba, C. florida, C. kousa, C. mas, C. sanguinea et C. stoloni-fera, Leur intérêt réside dans le feuillage, les fleurs, les bractées colorées ou même la couleur des rameaux ligneux. À notre sens, l’espèce la plus intéressante est C. florida, dont les fleurs sont entourées de somptueuses bractées blanches (roses dans la variété ‘Rubra’) apparaissant en avril, avant que les feuilles ne sortent. Le spectacle de ce grand arbuste, de 1,30 à 2 m de hauteur, est alors splendide.
En règle générale, les cornouillers s’accommodent de tous les sols, sauf C. florida qui s’épanouit dans la terre de bruyère. Une exposition ombragée ne peut leur nuire.
Coronille des jardins
(Coronilla emerus)
La coronille des jardins est un arbuste de 2 m, à rameaux verts, au feuillage léger, tombant à l’automne. Ses fleurs très gracieuses, jaunes marquées de brun, s’épanouissent de mai à octobre par groupes de deux ou trois.
Les coronilles poussent spontanément dans le midi méditerranéen, car elles affectionnent les terrains secs et calcaires.
Cotoneaster
Ses fruits persistants, de couleurs vives, et son port gracieux sont les deux qualités de cet arbuste que l’on rencontre souvent dans les jardins.
On distingue habituellement les espèces à feuilles persistantes de celles à feuilles caduques.
Les espèces à feuilles persistantes.
Il s’agit d’arbustes originaires de Chine, hauts de 1,30 à 2 m, sauf pour quelques exceptions, soit naines (de 20 à 50 cm), soit géantes (plus de 4 m). L’espèce C. franche-tii est utilisée pour former des haies taillées. Ses feuilles sont vernies sur le dessus, grises au revers, ses fruits orangés. C. rugosa a un port pleureur, des feuilles grandes et lancéolées, des fruits rouge cramoisi. L’espèce C. microphylla est pourvue de branches traînantes portant de petites feuilles vert foncé, doublées de gris. Il fleurit en mai ou juin et se couvre de fruits rouges en septembre. Sa taille n’excède pas 50 cm. C. salicifolia, au port étalé et retombant, donne des fleurs délicatement rosées au printemps et des fruits d’un rouge franc en automne. Il peut atteindre facilement 4 m de hauteur.
Les espèces à feuilles caduques.
On retiendra surtout C. horizontales; arbuste à branches horizontales produisant, au mois de mai, de nombreuses fleurs roses, puis, en septembre, de petits fruits d’un rouge éclatant. Il ne dépasse pas 80 cm et convient donc aux bordures, aux rocailles (dont c’est l’une des meilleures espèces), aux talus et aux lisières de bassin. Il est indifférent au terrain comme à l’exposition qu’on peut lui donner.
Tous les cotoneasters supportent bien la taille.
Enregistrer un commentaire