Un terrain sur lequel on édifie une maison est généralement profondément bouleversé, tout au moins dans un périmètre
important autour de la construction.
S’il s’agit d’une ancienne prairie, l’entrepreneur en maçonnerie devra dégager la couche de terre végétale sur une bonne superficie : surface des fondations de la maison, emplacements des grues et de la bétonnière, passages pour les camions, emprises de canalisations, fosses, etc.
En revanche, si le terrain ne comporte pas une couche végétale d'au moins 40 cm d’épaisseur, il faudra apporter de l’extérieur toute la terre cultivable dont on aura besoin. À ce propos, il est recommandé de synchroniser la construction de la maison et la création du jardin, car une fois les clôtures posées, le transport de terre sera moins facile. On peut profiter du tracé dressé par le géomètre pour relever le plan du futur jardin et reporter l’emplacement de la citerne à mazout et des canalisations : eau, électricité, gaz, drains, etc. C’est en tenant compte de ces indications, de l’emplacement des arbres existants et des différences de niveau, que l’on pourra réfléchir utilement à la réalisation du jardin. Il ne faut pas perdre de vue que si les maçons, les plombiers et les électriciens peuvent travailler pratiquement toute l’année, le jardinier, lui, doit respecter des périodes bien définies pour réussir ses plantations.
Si la maison se dresse sur un terrain nu, il est recommandé de prévoir, avant même le début des travaux, la mise en place de quelques grands arbres (de 4 à 6 m de hauteur) qui serviront d’ossature au jardin. On peut ainsi gagner une année : la plantation étant faite par des professionnels, avec un matériel approprié et à une période
favorable à la reprise. Mais il faut alors prévoir un budget important, d’autant que les grands arbres coûtent cher et qu’il faudra probablem
important autour de la construction.
S’il s’agit d’une ancienne prairie, l’entrepreneur en maçonnerie devra dégager la couche de terre végétale sur une bonne superficie : surface des fondations de la maison, emplacements des grues et de la bétonnière, passages pour les camions, emprises de canalisations, fosses, etc.
En revanche, si le terrain ne comporte pas une couche végétale d'au moins 40 cm d’épaisseur, il faudra apporter de l’extérieur toute la terre cultivable dont on aura besoin. À ce propos, il est recommandé de synchroniser la construction de la maison et la création du jardin, car une fois les clôtures posées, le transport de terre sera moins facile. On peut profiter du tracé dressé par le géomètre pour relever le plan du futur jardin et reporter l’emplacement de la citerne à mazout et des canalisations : eau, électricité, gaz, drains, etc. C’est en tenant compte de ces indications, de l’emplacement des arbres existants et des différences de niveau, que l’on pourra réfléchir utilement à la réalisation du jardin. Il ne faut pas perdre de vue que si les maçons, les plombiers et les électriciens peuvent travailler pratiquement toute l’année, le jardinier, lui, doit respecter des périodes bien définies pour réussir ses plantations.
Si la maison se dresse sur un terrain nu, il est recommandé de prévoir, avant même le début des travaux, la mise en place de quelques grands arbres (de 4 à 6 m de hauteur) qui serviront d’ossature au jardin. On peut ainsi gagner une année : la plantation étant faite par des professionnels, avec un matériel approprié et à une période
favorable à la reprise. Mais il faut alors prévoir un budget important, d’autant que les grands arbres coûtent cher et qu’il faudra probablem
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