comment ça marche aiguillage

aiguillage Bien que les voies soient en principe respectivement réservées à un sens de circulation déterminé, il faut cependant prévoir le cas où il est nécessaire de taire passer le matériel roulant de l’une sur l’autre. On y

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comment ça marche bloc-système

bloc-système Sur les lignes à double voie, deux trains de sens contraire peuvent librement se croiser. Par contre, il importe de ménager, entre ceux qui se suivent dans le même sens ou qui manoeuvrent sur la même

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comment ça marche bogie

Le bogie (on écrit aussi boggie) est constitué par une couple dessieux montés sur un châssis mobile par rapport à celui du wagon. Il peut tourner autour d’un pivot (cheville ouvrière) et, souvent, se déplacer

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comment ça marche caténaire

un terme qui parait assez savant mais qui signifie tout simplement « chaine s, du latin catena. La caténaire, c’est un dispositif de suspension du câble conducteur. Celui-ci, devant rester constamment en contact avec

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comment ça marche locomotive électrique

locomotive électrique Moins « expressive s, sans doute, que son homologue à vapeur, la locomotive électrique l’emporte sur elle à tous les autres points de vue. Son aliment la sève invisible que, tout au long de sa course, lui dispense un câble aérien. De ce fait, elle est toujours disponible, toujours prête à entrer en service, ce qui permet d’améliorer considérablement la vitesse horaire des trains. Le courant assure en outre une extrême souplesse de conduite; capté par le pantographe, il traverse le contrôleur que le conducteur manipule avec aisance pour démarrer, graduer la vitesse, stopper, faire marche arrière. Autre avantage, dans les pentes on récupère de l’énergie, restituée à la ligne d’alimentation, car les moteurs électriques peuvent, grâce à leur réversibilité, fonctionner en générateurs de courant. Ce faisant, ils exercent au surplus un excellent freinage automatique, Enfin on ne craint plus de pollution de l’atmosphère. Les locomotives électriques sont désignées par un symbole, comme leurs consoeurs à vapeur. Un chiffre suivi d’une lettre désigne ces dernières. — la lettre P pour les machines construites postérieurement à la création de la S,N.C.F. Le chiffre 241, par exemple, se lit 2 = un bogie à l’avant; 4 = quatre essieux accouplés; 1 = un essieu porteur à l’arrière. Pour les machines électriques, cest une lettre, non un chiffre, qui désigne le nombre d’essieux moteurs A = 1; B = 2; C = 3 (les essieux porteurs restant indiqués par un chiffre). Ainsi les célèbres BB (détentrices du record du monde de vitesse sur rail) ont-elles 4 essieux moteurs comportant 2 bogies. Les non moins fameuses CC (record du monde de distance) possèdent 6 essieux moteurs, Les 2D2 ont 4 essieux moteurs et à chaque bout 1 bogie à 2 essieux porteurs, La S.N.C.F. poursuit son effort pour augmenter la puissance de ses locomotives, aussi bien dans le domaine de la traction électrique que dans celui de la traction Diesel. Et de nouvelles machines sont apparues, capables d’atteindre des vitesses de 100 km à l’heure en service marchandises et 220 km à l’heure en service voyageurs (CC 21 000, pesant 119 tonnes, et développant une puissance de 8 000 chevaux). L’électrification des chemins de fer, inaugurée en France dès 1900 sur les lignes ParisOrsay à Paris-Austerlitz et Paris-Invalides à Versailles, couvre aujourd’hui plus des trois-quarts du trafic,

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comment ça marche chasse-neige

chasse-neige Le plus simple et le plus ancien des chasse- neige est évidemment la pelle. Mais celle- ci est bien insuffisante quand il s’agit d’opérer d’importants déblaiements sur une voie ferrée ou sur une route qu’il faut pouvoir rendre à la circulation le plus rapidement possible, et cela sur de grandes distances. On recourt alors non seulement à des engins à soc — étraves, râcleurs, lames biaises, selon la disposition de la route—, poussés ou tirés par une locomotive ou par un tracteur, mais aussi à des appareils de déblaiement mécanique, qui lancent au loin la neige, au moyen d’un dispositif animé d’un mouvement latéral, Ce sont, notamment, les engins à turbine dont les pales saisissent des paquets de neige et les lancent à grande distance, projetés par la force centrifuge; les centrifugeuses à soc, qui comportent un dispositif râteleur; les fraiseuses, équipées d’un cylindre tournant armé de couteaux; les turbo-fraises dont les vis hélicoïdales séparent la neige de la masse et l’amènent ensuite à la turbine qui la disperse au loin. C’est en montagne, bien entendu, que ces diverses machines rendent les plus fréquents services. Elles sont devenues familières à tous les amateurs de sports d’hiver qui souhaitent trouver beaucoup de neige.., à condition que celle-ci ne les bloque pas en chemin.

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comment ça marche locomotive à diesel

La locomotive à moteur Diesel présente divers avantages : un rendement élevé, la possibilité d’une mise en marche immédiate. comme pour la locomotive électrique, et une indépendance que celle-ci n’a pas, puisqu’elle est tributaire des caténaires. Cette machine est équipée dun moteur Diesel à quatre temps muni d’une petite turbine de suralimentation, turbo- soufflante, utilisant les gaz d’échappement comme fluide moteur. Dans les diesel- électriques, employées pour la traction de trains rapides et pour les manoeuvres exigeant de gros efforts, le moteur entraîne une génératrice à courant continu qui alimente des moteurs électriques accouplés aux essieux moteurs.

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comment ça marche tender

tender L. tender est l’annexe nécessaire de la c.rnotive à vapeur puisqu’il transporte es povisions de cette grande dévorale combustible et l’eau, Il comporte soute et réservoir, La caisse à eau, ‘e à la machine par des conduites .‘:jlées, est en forme de fer à cheval .s :arge se trouve ainsi répartie sur tous -ssieux. La soute à charbon occupe pace laissé libre au milieu. Elle est ‘‘—piacée par un réservoir à fuel, équipé réchauffeurs à circulation de vapeur, z_and la chauffe est assurée par combus.€ liquide. . tender fait souvent corps avec la locove sur les machines de manoeuvre de banlieue qui n’ont à parcourir que de faibles trajets. Les tenders ont, bien entendu, grandi en même temps que les locomotives pour satisfaire leur croissant appétit, et ils sont devenus capables de transporter 6 tonnes de charbon et 38 mètres cubes d’eau. Afin de pouvoir augmenter les parcours sans prolonger les arrêts, on a imaginé un dispositif simple qui permet le ravitaillement en eau pendant la marche même. Un bac en tôle est établi sur une partie rectiligne à l’intérieur de la voie, long de quelques centaines de mètres, profond de 20 cm et rempli d’eau, Le tender est muni d’un tuyau à bec en cuiller recourbé vers l’avant, l’écope, que le mécanicien peut plonger dans la rigole. L’aspiration produite par la vitesse fait monter l’eau dans la caisse de ce tender. devenu ainsi comparable à un buveur qui se servirait d’une paille en courant au- dessus d’un petit canal...

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